Alice in Murderland
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~ Malvenue à MurderLand ~
 
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 ~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~

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2 participants
AuteurMessage
Miriana L. Camber

Miriana L. Camber


Messages : 6
Date d'inscription : 14/10/2011
Age : 26
Localisation : MurderLand~~Arbre des sucettes

Feuille de personnage
Vitalité:
~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~ Left_bar_bleue100/100~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~ Empty_bar_bleue  (100/100)
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MessageSujet: ~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! o/ ~~   ~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~ Icon_minitimeSam 15 Oct - 22:19

~~ Présentation de Miriana L. Camber ~~



Derrière l'écran. (*= Obligatoire)


  • *Pseudo :Miri pour les intimes, Miri-sama pour les autres

  • *Âge : 14ans

  • *Passe-temps : Ordinateur, Graph, Ecriture...

  • *Couleur préférée : Noir

  • Quelque chose à dire sur le forum ? Il est juste trop beau! *O*

  • *Codes (voir le Règlement) : /

  • Autre ? : Vive moi! \o/



Mon personnage en général:


  • Identité : Miriana L. Camber

  • Surnom : Miria

  • Âge : 8ans

  • Sexe : Féminin

  • Groupe : Humaine

  • Aime : Miriana aime les choses concrètes, les mathématiques, les sciences de l’âme et l’art de savoir vivre. Les choses délicates, étaient, pour elle, des plus intéressantes, tout comme boire du thé, d’après elle.

  • N'aime pas : Miriana n’aime pas les gens franches, qui lui disent directement ce qu’ils pensent d’elle sans penser à sa délicatesse légendaire. Elle n’aime pas non plus la vue du sang, les choses acides, les araignées et les rats.



Apparence :

    Une paire d’yeux noisettes au milieu d’un visage délicat, des joues légèrement roses, des lèvres pleines et un nez fin, voilà comment je pourrais décrire Miriana. Ses sourcils dessinent une fine ligne sur son visage peu pâle et ses oreilles n’apparaissent pas à cause de leur taille minime. Ils sont, en outre, cachés par une touffe de cheveux châtains, longs et brillants, prouvant les soins qu’elle leur apporte. Descendant en cascade le long de son dos, ils s’arrêtaient au-dessus de son fessier. Son corps était frêle et peu musclé, et ses membres étaient allongés. Des mains minuscules pour une petite taille, voici la maxime qu’elle entretenait en pensant à son physique.
    Quant à sa façon de s’habiller, Miriana hésitait entre un style très féminin, composé de robes et d’escarpins malgré son jeune âge, et un style un peu plus masculin dans lequel elle s’habillait de shorts et de t-shirts très peu ouvragés. Malgré ces deux styles complètement différents, la personnalité de cette fille ne changeait pas.





Caractère :

    Au début d’un caractère joyeux et sympathique, le mental de Miriana vira soudainement au sombre. Son regard plein de vie disparu soudainement pour laisser place à un regard morne et terne. Triste en permanence, Miriana se distinguait des autres par sa non-susceptibilité. Le fait que quelqu’un l’insulte ne lui faisait rien à un tel point que plus personne ne l’approchait. Insaisissable, ses actions étaient souvent imprévisibles et portées sur un coup de tête. A part cette facette de son caractère, l’enfant était très sensible, elle ne supportait en rien la vue du sang au départ mais, au fur et à mesure de son avancée dans MurderLand, elle s’y habitua lentement. De son visage ne transpirait aucune information sur son humeur ou sur la moindre faiblesse qui aurait permis de la blesser mentalement. En effet, pour une enfant, Miriana était très mature…





Et ton passé ?

    Un dimanche soir, par une pluie hivernale et enfermée dans une petite chambre, une femme prise de douleurs appelait à l’aide.
    Blottie dans les bras de son grand frère, l’enfant frissonna. Malgré la capuche qu’il lui avait posé sur la tête pour la protéger, elle tremblait de froid et ses doigts glacés, semblaient vouloir se figer sous un manteau fait d’un fin tissu qui ne la protégeait que très peu. Entendant l’appel, il se figea et alla toquer à une porte qui semblait être la cause de se vacarme par une heure si tardive. Ne recevant pour réponse qu’un hurlement et pris de panique, il enfonça la porte d’un rapide et solide mouvement d’épaule. Cette dernière, en éclatant, lui ficha nombre de morceaux de bois et d’échardes dans le bras. Gémissant avec fureur de sa stupidité, il se dirigea avec naturel vers le lieu de provenance des hurlements. Le jeune homme entra dans une pièce grisâtre, ronde et qui sentait la moisissure à plein nez. De l’eau suintait le long des murs et le plafond semblait vouloir lâcher d’un instant à l’autre. Une femme âgée se tenait dans le peu qu’il restait d’espace, agonisante et étalée d’une façon qui était presque gracieuse. Un filet de sang coulait sur son menton, réunion des vaisseaux éclatés de ses yeux, du sang qui coulait de son nez, de ses yeux et oreilles ainsi que de sa bouche. Ses doigts, crispés, étaient plantés dans le parquet. Ses jupons étaient légèrement relevés et laissaient apparaître ses jambes, fines et pâles. Ayant un soudain haut-le-cœur devant cette scène qui lui paraissait pourtant couler de source, Antonio sortit en trombe de la petite pièce. Sa sœur l’observait d’un regard déconcertant, ne comprenant pas le spectacle auquel elle venait d’assister mais pourtant gravé dans sa mémoire. Resserrant son étreinte sur elle, le grand frère s’enfuit à toutes jambes de la maison ouverte à tous les passants.
    Ses parents, en le voyant revenir dans un tel état de frayeur ne comprirent pas la source de ce sentiment, ne posèrent pas de questions mais s’occupèrent de lui, délaissant Miriana. Terrible erreur que fut celle-ci…
    La jeune enfant grandissait lentement malgré une maturité remarquable. Triste, renfermée sur elle-même, incomprise… Esprit d’adulte dans un corps d’enfant, quelle souffrance était la sienne. Grandissant dans l’amour des siens et pourtant sans parvenir à se faire aider, Miriana gardait une image si triste dans son cœur. Quelque part, Antonio la répugnait pour sa lâcheté mais, aurait-elle fait mieux ? Aurait-elle pu ne pas s’enfuir ?
    Mais, à l’esprit de l’enfant, à quoi bon se poser une question dont on n’a pas la réponse ? Vivre pour vivre et être pour être, fallait-il s’inquiéter d’autre chose ? Peut-être bien de sa propre personne et uniquement d’elle, de sa famille éventuellement mais principalement d’elle. Comparée à une autiste pour cause de son renferment, elle n’accepta de se confier qu’à Antonio auquel elle avoua qu’elle voyait en lui une certaine lâcheté. Il n’avait que sourit, l’avait rassurée mais la jeune fille se sentait encore coupable de ce sentiment qu’elle voulait voir disparaître de son corps et de son esprit. Peut-être que, quelque part, elle cherchait un confident, un vrai. Pas son frère qui venait sourire et ne commentait rien, pas sa mère, passive et qui se contentait de critiquer ni comme son père qui trouvait sujet à rire partout. Les larmes, tous les jours, coulaient le long de son visage tandis qu’elle cherchait, en vain, à retrouver une raison de vivre, ne serait-ce qu’un animal…
    Elle habitait dans une grande maison de campagne, perdue au fin fond de la cambrousse, sans voisins ni amis depuis l’incident. Sa grand-mère, seule personne qu’elle aurait pu comparer à une confidente était décédée l’an d’avant et Miriana se retrouvait seule, une fois de plus. Décidant de se détacher de sa famille et de ne plus s’attacher à personne, elle ne partit pas de chez elle mais se cloîtra dans un silence glacé qui, associé à son visage, indiquait clairement qu’il ne lui fallait pas adresser la parole. Enfant capricieuse et gâtée, elle mangeait beaucoup pour combler ce vide mais ne grossissait pourtant pas, possédant la fine musculature des humains.
    Fut-il futile, son plus grand souhait était d’oublier la mort de cette femme, que tout redevienne comme avant, que ses parents s’occupent plus d’elle que de son frère… Fut-il bien égoïste, c’était le sien.

    Comme une chenille devient lentement un papillon, Miriana devenait lentement une enfant d’âge mur. Chaque jour était pareil, pour elle. Une prière en début de matinée, un petit-déjeuner, un départ à l’école… Le soir, elle revenait harassée, mangeait et allait se coucher. Triste monotonie qu’était celle-ci. Certains jours, pour casser la routine qui était sienne, elle allait camper chez sa meilleure amie, Laura. Laura était une jeune fille de sept ans, comme Miriana, d’ailleurs. Il arriva que, par un malheureux incident, Laura trouva la mort le jour des huit ans de Miriana. Je ne vous dirais pas pourquoi, moi-même ne le sais pas. Toujours est-il que l’enfant se pensa responsable de cette mort et se la mit sur la conscience. En souvenir de sa précieuse amie, elle se fit appeler Miriana Laura Camber. Miriana en guise de prénom, Laura en guise de deuxième prénom et Camber comme nom de famille. La combinaison de ces trois noms donna celui qu’elle considère comme sien, Miriana L. Camber.
    La jeune Miriana sombra lentement dans la folie et le désespoir, s’accusant à tort d’un meurtre qu’elle n’avait pas commis. Un jour, en rentrant chez elle, elle pleura, pleura, dans les bras de son ours en peluche, dans les bras de tous ses animaux en peluches. Elle commença à leur parler, à leur raconter sa vie. Il s’avéra que ses parents avait reçu une lettre de son école qui demandait sa désinscription. Elle, paraissait-il, passait se journée à pleurer et déprimait les autres élèves. Apprenant cette nouvelle, l’enfant décida de s’enfuir de chez elle.
    Une nuit, vers une heure du matin, elle sortit de chez elle en courant, s’enfuit très loin, très très loin. A vrai dire, elle alla se cacher dans les bois.
    Vous connaissez l’histoire d’Alice ? La jeune fille qui est tombée dans un trou ? Miriana elle aussi est tombée dans un trou mais elle ne pensait pas non plus atterrir à MurderLand, le pays imaginaire craint des enfants…

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Erin Akuma Usagi
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Erin Akuma Usagi


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MessageSujet: Re: ~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~   ~~ Miri-sama votre bien-aimée est là! \o/ ~~ Icon_minitimeDim 16 Oct - 14:17

C'est bon, je te valide ^^
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